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07 mai 2015

Les Sources d’énergie Renouvelable, Pilier du Développement Durable, Thème de la 13ème Edition du Concours Jeunes Reporters pour l’Environnement

Le jury du 13e concours des Jeunes Reporters pour l’Environnement a délibéré les 26 et 27 mars 2015, au siège de la Fondation Mohammed VI pour la Protection de l’Environnement. Il a primé quatre reportages dans la catégorie Reportages écrits, et six images dans la catégorie reportages photographiques.

Un nombre de 1282 élèves encadrés par 641 enseignants ont participé à cette 13e édition et ont rendu 217 reportages écrits et 410 photographies. Cette année, les organisateurs leur avaient proposé de travailler sur le thème des « sources d’énergie renouvelable, pilier du développement durable ».

Les participants, encadrés par des enseignants dont on ne louera jamais assez le dévouement, ont fait preuve de curiosité à l’image des élèves de l’unité scolaire de la Banque populaire d’Asilah (prix de l’initiative), qui se sont penchés sur la décharge de leur ville et les problèmes de santé et de pollution de la nappe phréatique qu’elle cause.

Les lycéens d’Ibn Taher, à Errachidia, ont décroché le prix de l’approche pour leurs investigations sur l’éventualité d’une centrale solaire dans leur ville, à l’instar de celle d’Ouarzazate. Ils n’ont pas hésité à pousser la porte de l’ONEE, de la station météorologique locale, d’un chercheur, d’un élu local et même… du ministre de l’Énergie et des Mines par interview téléphonique.

Les lycéens d’Abdelkrim El Khattabi de Nador se sont rendus sur l’exploitation agricole de l’oncle Ammar, pour rendre un reportage convaincant sur les bienfaits de son installation de pompage solaire sur sa ferme. Pour ce reportage, qui les a amenés à comparer l’énergie solaire aux autres sources, ils ont reçu le prix du jury national.

Le dernier prix, celui du thème de l’année, a été décerné aux élèves du Lycée Abdelaziz Meziane Belfqih de Moulay Yaacoub, pour leur reportage sur la découverte de l’énergie solaire par les habitants du douar Ouled Jamaa à la suite de son installation dans la mosquée, installation qui a changé et facilité la vie des habitants, avec des conséquences positives, comme sur l’abandon scolaire.